Nom: Darubj
Prénom: Uallas
Race: humain
Ordre: Courreur des Steppes; chef de l'ordre, alias Nuage de Poussière
Sexe: masculin
Âge: 32 ans
Taille: 1m82
Physique: Le plus frappant, chez Uallas, c'est avant tout son visage. Un visage buriné par la fatigue, le temps, l'expérience, le vent, et tous les maux naturels que peuvent accabler un tel courreur.
Ses yeux bleus dévalés sont toutefois assez expressifs et dénotent une certaine joie de vivre chez Uallas.
Il porte de longs cheveux gris qui lui permettent de résister aux vents et au froid lors de ses nombreuses expéditions, ainsi qu'une petite barbiche et parfois un barbe mal rasée.
Sa voix est souvent rauque car Uallas n'a pas souvent l'occasion de parler durant ses voyages en solitaire.
Caractère: Uallas est un bon vivant; le fait qu'il soit rarement à Béraka renforce cette idée lorsqu'il est de retour pour un temps: Uallas est souvent un joyeux fêtard, amateur de bons repas autour d'une tablée d'amis, et aussi de bière inhîl, dont il rafole.
Uallas tente souvent d'engager la conversation avec le premier venu, car il éprouve un besoin fou de parler, pour raconter ses voyages ou tout simplement écouter la voix de quelqu'un, chose rare quand on est courreur.
Uallas est donc extraverti, amical et bon vivant, bien qu'un peu susceptible sur les bords, quoiqu'il est plutôt rare de le voir s'énerver.
Histoire: Uallas fut le deuxième à trouver la Prodige Nymphe, après le regretté Morkoï. Il avait fui car durant les premières semaines suivant l'arrivée sur Béraka, il servait souvent d'intermédiaires pour les têtes pensantes et les hautes sphères.
Il décida donc de fonder la ville de Béraka, ce pourquoi il partit à la recherche de personnes humbles et justes, prêtes à bâtir un nouvel espoir.
Ainsi, il alla trouver ceux qui sont devenus Oeil de lune et Oeil de Soleil, Le grand maître créateur, les Sommets du Pentacle, le Saint Pourfendeur et le Protecteur Suprême de Béraka.
Après s'être assuré que la ville serait en de bonnes mains, il partit explorer le plan de Béraka.
Il est inutile de raconter ses voyages ici, car ils étaient souvent longs et monotones, fastidieux et peu grandioses.
Néanmoins Uallas pu ainsi dresser une sorte d'atlas de Béraka.
Bien des années plus tard, Uallas rentrait enfin dans sa ville adorée. Il espérait y trouver un repos bien mérité et lier de nouveaux liens.